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    Une question me traverse l'esprit quel est le plus horrible ;

    Chercher à avoir de la certitude par rapport à ce qu'on ignore où douter de ce qu'on sait déjà ?

    Des pignons ainsi nous sommes et le destin est le maitre du jeu...plein de pensées me hantent de plus en plus, seul le temps peut y répondre, et bien que j'en ai du temps je ne sais si peux me l'accorder.

    Tant d'épreuves et je ne sais plus quoi faire, je ne sais même plus pourquoi je me torture puisque je n'ai aucune certitude.

    Pourquoi je m y perds aujourd'hui au milieu de ce labyrinthe ?


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    Le temps passe vite même si l'on refuse de l'admettre ou de le voir, on avance et puis on se rend compte que tant de choses ont changé.. souffrance, douleur, joie, et incertitude des sentiments à l'infini qu'on éprouve et qu'on oublie jusqu'à les éprouver de nouveau et puis l'hésitation et la peur deux sentiments qui ne me quittent jamais, l'hésitation à prendre une décision et la peur d'assumer mes choix
     
    on veut toujours prendre la bonne décision, mais on est jamais sûr de rien, parfois on suit son instinct d'autre on se réfère à l'avis des autres, mais cet autre n'est jamais moi et donc il ne peut comprendre mes peurs ce que je veux et ce que je ne veux pas, ce que je ressens et ce que moi même j'ignore,
     
    Et plus le temps passe plus je ressens le poids des idées qui me hantent, et c'est l'angoisse l'envie de ne plus penser de ressentir le vide au fond de moi et me contenter de mon quotidien, ne plus penser à l'avenir à l'inconnu et aux rêves de joie et bonheur.

     

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  •  Une guerre froide, c'est le bon terme jamais je n'ai cru qu'une telle guerre pouvait exister au sein d'une famille et pourtant c'est le cas, une guerre avec des stratégies, des complots, de la trahison  et même des abus de force ou de pouvoir.

      Une guerre où chacun se croit victime mais personne ne connaît son ennemi, alors qu'il suffit de se regarder dans un miroir pour le connaître.

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      Les morts eux n'ont droit aux enterrements, car ils n'ont de cadavres, et comment un sourire, une  joie, un espoir ou un rêve peut-il en avoir ? Mais en dépit de cela  chaque fois on porte le deuil, chaque fois nos cœurs s'alourdissent de regret et de chagrin que le temps ne semble pouvoir ni vouloir consoler.

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      Et si par hasard on décide de ne plus y participer, de se retirer et tout abandonner, on se retrouve pris au piège entre tout les camps de combats autant que cible et parfois autant que témoin ou spectateur puisque pour certains cette guerre n'est autre qu'une scène tragique qui apporte du plaisir mais quel plaisir ; celui de se détruire.

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      Ainsi, malgré que je me sens épuisée, affaiblie et à bout de force pour continuer à lutter...je ne parviens à arrêter...arrêter de réfléchir, de penser et de repenser au présent et à mon passé, je ne pourrai en finir pour la simple raison, que je manque de courage ou de lâcheté pour le faire, et je ne sais s'il s'agit là de lâcheté ou de courage.

      

      Enfin, d'ici le jour où je saurai où j'oserai je suis obligée de survivre.


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      Me revoilà de nouveau avec les même questions et les même interrogations, je ne m'attendais à changer d'humeur aussi vite.
     
      Un petit geste pour faire plaisir était à l'origine de mon état d'hier soir, plutôt c'était l'indifférence à son égare...une indifférence qui fait mal, et puis..déception, tristesse, colère, remords...
     
      Même les reproches je ne peux les exprimer, je dois sourire alors que j'ai envie de pleurer, j'ai pleuré en silence, mais même mon silence on me le reproche..et je culpabilise...il y a suffisamment de peine pour que j'en rajoute, c'est ainsi je dois comprendre et tolérer mais qui prend la peine de me comprendre.
     
      Aussi sombre que cela m'apparait je suis entrain de m'y perdre de nouveau dans ce trou noir qu'est ma vie.

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  •  Après la pluie le beau temps, peut être c'est vrai peut être non...
     
    Le plus importe c'est cet instant et le bien être que je ressens,

     

    Je ne sais le pourquoi ni quand je peux rebasculer d'un état à un autre, le plus important c'est que j'ai découvert que même les tout petits projets me permettent de m'accrocher et d'avancer,

      Par moment, je cours à mon refus où j'arrive à me détacher de tout ce qui m'entoure, je me contente de la satisfaction que m'apporte les banalités de la vie,

    Ce n'est pas fuir la réalité mais plutôt s'arrêter, reprendre mon souffle et continuer.


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