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Par millange le 19 Janvier 2009 à 15:40
Loin de la pression et du poids
Qui s'abat sur mon être parfois
Je cesse de penser à mes craintes et à toi
A tout ces instants de bonheur que je te dois
Mais le trouble et l'angoisse qui est en moi
Et mes peurs surgissent chaque fois
Que je pense de venir la proie
D'une souffrance que je ne conçois
Et que dans la douleur un jour je me noie,
Alors je m'enfuis vers mon refuge étroit
Pleurer la grandeur de mes émois
Et si je ne parviens à répondre au pourquoi
C'est que je m'aperçois
Etre plus faible que je ne le crois
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Par millange le 22 Décembre 2008 à 16:41Le temps passe vite, plus vite que l'on croit,
On s'habitue et puis on s'aperçoit,
Qu'on avance tout en restant au même point,
Et que nos rêves sont toujours aussi loin.
Pourtant, on essaie de penser à l'avenir
Même si on sait que le plus dur est à venir,
On préfère fouir la vie des grands
Et se contenter des petits jeu d'enfants.
Car après tout pourquoi choisir
Puisqu'on ne peut réellement agir.
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Par millange le 9 Septembre 2008 à 18:27
Assise sur un sombre rocher,
J'observais le soleil se couchait
S'en fouillant au fond de la mer
Comme un mort qu'on enterre
Et comme la rose qui perd son odeur
Ce mort ne trouva qui le pleure
Ainsi devant l'immensité de l'océan
Moi je me prisais les gens
Qu'elle est drôle notre existence
Tout est bâti sur les apparences
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Et dire que je voulais changer
Et vers de nouveau horizon me lancer
Tel un rêveur de richesse ou de gloire
Qui ne veut jamais perdre espoir
Mais on ne glisse dans le vide
Que lorsqu'on a plus de guide
Et l'on ne connaît la douleur
Que si on a vécu le bonheur
Dieu je ne ressens plus la joie
Même avec mon coeur rempli de foi
Dites moi pourquoi y vivre encore
Sur une terre pleine de tort
Ma vie comme le vent passera,
Et de ce monde un jour disparaîtra...
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Par millange le 23 Août 2008 à 18:34Et ce vrai qu'il faut sourire au passéAvant de le voir de nos mémoires s'effacerCar demain ne sera qu'un souvenirEt qu'hier un jour était l'avenirEt ce vrai qu'on se croise jour et nuitMais l'on ne se reconnaît tellement étourdit.Que dans ce monde plein de chagrins et souriresL'on ne distingue plus le cri du rireEt ce vrai que le soleil se brûle pour brillerEt les bougies pleurent pour illuminerMais que plus rien ne nous ravitTellement le cœur est lourd de soucis
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